Lama Gyourmé et les Chants Sacrés Tibétains
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Dès son plus jeune âge, Lama Gyourmé manifeste des prédispositions pour les chants et un attrait pour la musique sacrée auxquels il s’initie au monastère de Djang Tchoub Tcheu Ling au Bhoutan à la fin des années 1950. Nommé Oumzé, il ne cesse depuis de porter et réjouir les fidèles qui suivent les méditations qu’il chante en tibétain, parce que c’est, selon lui, la langue la plus appropriée pour faire vibrer et résonner les mantras et les chants qui procèdent par louanges et identifications avec les divinités et yidams du panthéon bouddhiste. |
Depuis sa rencontre avec le pianiste Jean-Philippe Rykiel en 1994 et l’accompagnement des chants par une composition moderne au synthétiseur qui s’harmonise avec la ligne mélodique traditionnelle, Lama Gyourmé touche aussi un public non initié lors de nombreux concerts en France et à l’étranger (Italie, Espagne, États-Unis…). Le succès des concerts est tel qu’ils sont encouragés à enregistrer et diffuser les chants ainsi orchestrés. |
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Vénérable Lama Gyourme |
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L’album Chants pour la Paix est disponible dans les boutiques Extrait de l’album Lien vers fichier PDF de la jaquette complète 16 pages de l’album |
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